Fredo dirige tournage Ad&Tes

vendredi 19 décembre 2014

2014 – LES DERNIÈRES RÉALISATIONS

Les Productions OPTIMALES en tournage pour la mine de diamants Stornoway 

Sans mentir, j’écris cet article sur des chapeaux de roues !
Car Noël approche à grands pas et il reste du travail à abattre…

Il faut croire qu’en 2014, les astres étaient alignés en ma faveur, car l'année a été généreuse au niveau professionnel. C'est pourquoi de ce côté, je tends le flambeau à Marc-André Leclerc, producteur des Productions OPTIMALES, qui excelle dans le développement des affaires.

Je tenais donc à clore cette année riche en déploiement et en accomplissements, en vous dévoilant quelques unes des productions que j’ai réalisées et co-réalisées avec les Productions OPTIMALES et avec la collaboration de mes supers coéquipiers au cours des derniers mois.

Pour des raisons stratégiques, certains de ces films corporatifs et publicitaires ont d’abord été propagés par nos clients afin qu’ils puissent cibler le partage de leur nouvelle production sans éparpillements, pour mieux bénéficier d’une reconnaissance directe de leur clientèle.


Voici donc sans plus tarder, quelques-unes d'entr'elles :

LES CAMPANULES - PROJET IMMOBILIER


SALON INDUSTRIEL DE QUÉBEC


BOTRUM VERSA

Voilà pour les dernières productions de l'année 2014 auxquelles j'ai participé en tant que réalisateur. Si la tendance se maintient, je vous en dévoilerai davantage en 2015.

Vous aimez nos productions ?  S.V.P., partagez-les!
Vous connaissez quelqu'un dans le besoin ? N'hésitez pas à nous référer !


Joyeuses Fêtes et Bonne Année 2015!




vendredi 3 octobre 2014

SINISTRES PLAISIRS D'AUTOMNE


Peu à peu l'horizon s'enflamme mais le froid nous incombe.

Les jours s'assombrissent et la lumière se fait de plus en plus rare.

De leur ombre, les phalanges des arbres caressent les paysages en traçant des sillons éphémères.

* * *

Cette atmosphère singulière qui émane de l'automne suscite en moi le désir de m'abandonner aux charmes funestes de l'isolement devant des films insolites desquels exhalent des climats suspects. 

Aussi, j'aimerais partager avec vous quelques-uns d'entre eux que j'affectionne particulièrement et avec lesquels j'aime renouer lorsque l'automne s'installe.

An american werewolf in London
John Landis
Bram Stoker's Dracula
Francis Ford Coppola

The exorcist
William Friedkin
The ring
Gore Verbinski
Rosemary's baby
Roman Polanski
The Crow
Alex Proyas
Ginger snaps
John Fawcett
The illusionist
Neil Burger
Bien sûr, il existe de nombreux autres films qui se démarquent par leur atmosphère lugubre et qui sont en harmonie avec le climat automnal. 

N'hésitez pas à me faire part de ceux que vous aimez.
Je serais curieux de les connaitre.
Peut-être découvrirai-je des suggestions qui sauront m'interpeler
... ?

Vous aimez ce petit article ?
N'hésitez pas à la partager !



mercredi 3 septembre 2014

GRAND ÉCRAN: OUI À TOUT PRIX ?

Vous aimez le cinéma?
Vous fréquentez les salles?
Si oui, à quelle fréquence?

Combien de films êtes-vous allés voir cet été?
Quel genre de film aimez-vous? 

À quand remonte votre dernière sortie en salle ?

Voilà des questions que j'avais envie de poser à mes proches et amis après avoir lu le papier de Odile Tremblay REQUIEM POUR UN GRAND ÉCRAN? paru le 30 août dernier dans le DEVOIR. 

Photo:Denis Malouin

Les  diverses opinions énoncées dans l'article de Madame Tremblay au sujet de la baisse de fréquentation des salles de cinéma me laissent perplexe. S'agit-il d'une tendance générale qui indique un abandon progressif du grand écran? Qu'en sera-t-il cet automne, avec la programmation qu'on nous réserve? Et que dire de l'année 2015, qui annonce une programmation fulgurante? 

Cliquez pour voir
la bande-annonce de Lucy
Bien entendu, personne ne peut prévoir ce que deviendront nos salles de cinéma dans un proche avenir. Alors que certains parlent de leur mort imminente, d'autres parlent d'une tendance à la hausse. LUCY, par exemple, le dernier film de Luc Besson, bat des records de fréquentation en salles. L'avènement du numérique et de ses nouvelles plates-formes vont-elles réellement damer le pion au grand écran?

Pour ma part, j'adore le cinéma.

Et puis, sortir et aller voir un film en salle me procure encore des papillons comme lorsque j'étais gamin...

Mais voilà qu'aujourd'hui, je ne fréquente plus le cinéma comme autrefois. Car même si grâce au numérique, la qualité des images et du son s'avèrent exceptionnels, je trouve que le coût des projections est devenu beaucoup trop élevé. Et puis, je ne ne dispose plus d'autant de temps qu'avant.

Cliquez pour voir
la bande-annonce de Sin City 2
Je regarde encore des films certes, mais je limite mes choix. Ma dernière sortie au cinéma remonte à il y a deux semaines. Je suis allé voir SIN CITY, A DAME TO KILL FOR de Frank Miller et Robert Rodriguez. Le dernier des trois films que je suis allé voir en salles qui faisaient encore partie de la programmation estivale. Les autres films pour lesquels je me suis déplacé ont été X-MEN, DAYS OF FUTURE PAST de Bryan Singer et LUCY de Luc Besson. J'affectionne particulièrement ces deux derniers réalisateurs tout comme Robert Rodriguez d'ailleurs. C'est ce qui m'a principalement motivé à voir ces films cet été.

Je me déplace pour les films que j'attends depuis longtemps ou bien pour le film d'un réalisateur dont le style m'intéresse. Dans ces conditions, je suis prêt à payer le prix pour m'offrir une sortie. Et je prend les dispositions qu'il faut pour voir ce film sur grand écran. Comme ce fut le cas pour ceux que je vient de nommer. Car rien ne vaut le buzz que procure un bon film lorsqu'on y assiste en salle. Surtout lorsqu'ils sont traités avec originalité comme SIN CITY, LUCY, ou X-MEN, justement et qu'ils racontent de bonnes histoires. Que dire du reste de la programmation estivale? L'intérêt n'y était pas. Du moins pas de manière suffisante pour m'inciter à me déplacer et payer le gros prix

Concernant les films d'auteurs que j'aime et pour lesquels je suis passé tout droit et que je ne verrai jamais en salles comme LE GRAND MAÎTRE, le dernier Wong Kar Wai, je me rabats sur le DVD dans mon salon. Et cela me convient très bien. Même chose pour les films qui n'offrent pas une approche suffisamment créative pour me donner l'envie de les voir sur grand écran. Quant aux plates-formes numériques, je les utilisent parfois dans mes déplacements, ou lorsque je voyage. Mais je n'en suis pas accroc.

Qu'est-ce qui pousse les cinéphiles à changer leurs habitudes? Peut-être ces derniers en ont-ils assez des mauvaises publicités d'avant programme, ou préfèrent-ils tout simplement le calme que leur offre leur foyer loin du froissement des sacs de popcorn ???

Et vous, quels sont vos habitudes concernant le cinéma ?

mardi 29 juillet 2014

PLANIFIER et AGIR avec LE GROUPE ESSA

Depuis 1991, le Groupe ESSA s'impose comme la référence dans le domaine de l'entretien paysager et du déneigement à Québec.

C'est en ayant récemment réalisé leur portrait corporatif sous forme de film que j'ai découvert ses fondateurs et propriétaires, Stéphane et Simon Jourdain, deux individus que je qualifie d'étonnants, créatifs, innovateurs et visionnaires. 

Vous souhaitez témoigner de ce concentré de qualités? 


Cliquez sur le lien ci-dessous afin de visionner le film corporatif que j'ai écrit et réalisé avec les PRODUCTIONS OPTIMALES Inc. et faites connaissance avec le Groupe ESSA.

Portrait corporatif du Groupe ESSA

Selon les frères Jourdain, nous sommes parvenus à créer un portrait très juste de leur entreprise. J'estime que le succès de cette production repose principalement sur les 3 points suivants : l'investissement des propriétaires dans la création du film, la connaissance de leurs objectifs et du contenu à intégrer et une participation active de leur part dans le processus du tournage.

Dès le début du processus de création, les frères Jourdain nous ont bien informés sur le contenu de leur futur film corporatif. Ils n'ont pas hésité à nous faire comprendre les détails qui comptent pour eux. De notre côté, nous tenions à tout savoir afin d'être certains de ne rien manquer en terme d'informations et ce, afin de bâtir un scénario et un texte narratif qui vont droit au but. Nous posions nos questions, ils étaient là pour y répondre.

De la même manière, les frères Jourdain savaient exactement ce qu'ils voulaient pour le ton de leur film. Ce qui nous a permis de leur fournir des exemples et des références afin d'être certains de livrer exactement ce qui les représenterait.

Finalement, lorsqu'est venu le temps de tourner et même un peu avant pour l'élaboration de l'échéancier de tournage, ils se sont complètement investis dans le processus de planification, et sont toujours restés à nos côtés pour veiller à ce que leur matière soit tournée adéquatement. 

Ainsi, les frères Jourdain nous ont accompagnés à travers tout le processus, ce qui nous a permis d'éviter les retours inutiles et parfois irritants qui peuvent surgir dans la réalisation de ce genre de projets.

Résultat: tout le monde est satisfait du résultat et de la façon dont cette production s'est déroulée.






mercredi 4 juin 2014

LA BELLE ENSORCELEUSE


D'aussi loin que je me souvienne, tout comme vous probablement, j'ai toujours aimé les contes de fées. Aujourd'hui, ils représentent une grande part de mes sources d'inspiration en écriture. 

Vous ne serez donc pas surpris de savoir que je me suis précipité sur MALÉFIQUE peu après sa sortie en salles. Sans vous dévoiler tout de suite ce que je pense de ce film, je souhaite partager avec vous cette réflexion que j'ai eu en sortant de la projection: Angelina Jolie possède désormais un trait commun avec Robert de Niro, Tom Cruise, Marlon Brando, Jack Nicholson, Gary Oldman et Heat Ledger. Quel est-il, selon vous ?

Robert de Niro dans
FRAKENSTEIN de Mary Shelley
Tout comme ces acteurs accomplis et de grande renommée, cette actrice est parvenue à nous démontrer son savoir-faire en donnant vie - et avec brio - à une illustre méchante qui a frappée l'imaginaire de plusieurs amateurs de contes: il s'agit bien entendu de Maléfique. Et tout comme ces monuments du cinéma contemporain, Angelina Jolie a su livrer une interprétation qui rendra désormais ce personnage encore plus inoubliable. 

Rappellez-vous Robert de Niro qui a interprété Frankenstein de Mary Shelley. Tom Cruise qui a interprété Lesta, le vampire de Anne Rice. Marlon Brando - le parrain de Mario Puzo, Jack Nicholson - Jack Torrance de Stephen King dans Shining, Gary Oldman, - Dracula de Bram Stoker, Heath Ledger - le Joker de Jerry Robinson, Bill Finger, Bob Kane et maintenant,... Angelina Jolie - Maléfique, de Walt Disney.

Grâce à leur immense talent, à leur vision et à leur personnalité distincte, ces acteurs ont su donner une couleur particulière aux personnages de méchant qu'ils ont interprétés. Résultat, ceux-ci sont restés gravés dans nos souvenirs de cinéphile.

Gary Oldman dans
DRACULA  de Bram Stoker
Angelina ne fait pas exception à la règle. Pour ce rôle, il aurait été facile de tomber dans le cabotinage ou dans l'excès. Au contraire, le jeu de l'actrice est tout en nuance. Grâce à la profondeur qu'elle donne à son personnage, cette dernière rempli l'écran à chaque image et jamais on ne se lasse de la voir errer dans la lande en observant sa petite rivale, Aurore, rongée par ce sentiment obscur à son égard.

Angelina Jolie dans
MALÉFIQUE de Walt Disney
Toutefois, prétendre que le film repose entièrement sur Angelina Jolie serait exagéré. Son réalisateur, Robert Stromberg, qui a été directeur des effets visuels de AVATAR, ALICE IN WONDERLAND et OZ THE GREAT AND POWERFUL, est encore une fois parvenu à créer des images d'une splendeur absolue et qui ont une portée dramatique signifiante. On n'en attendait pas moins pour un conte de fées. Mais là, franchement, la barre est haute.

Des images qui ont une portée dramatique signifiante.
Et même si comme la plupart des contes de fées, MALÉFIQUE possède ses limites au niveau de la profondeur du récit, il n'en demeure pas moins que le voyage en vaut la peine.

Mettez de côté votre esprit cartésien, libérez votre coeur d'enfant et laissez-vous envoûter par le regard brûlant de Maléfique !

MALÉFIQUE
Cliquez ici pour voir le site officiel



vendredi 2 mai 2014

RÉALISATION VIDÉO AVEC WEBCAM: 5 CONSEILS

En tant que réalisateur pour ce blog-ci, j'ai pensé donner quelques conseils de base sur la réalisation de capsules vidéo faites à l'aide d'une webcam. 

Si j'ai choisi un tel sujet, c'est parce que récemment, je cherchais des renseignements qui n'étaient diffusés que sur capsules vidéo. La matière était riche, intéressante et très documentée. Toutefois, j'avais de la difficulté à rester attentif, tant la réalisation nuisait au propos. Ces capsules contenaient trop d'effets, les images de support étaient affreuses et coïncidaient mal avec les sujets. Je me suis donc dit que je pourrais peut-être me rendre utile en donnant quelques conseils de base à des personnes qui voudraient se lancer, mais avec quelques outils pour bien démarrer . 

Lorsqu'il s'agit de fiston qui cherche à transmettre sa passion sur Youtube pour épater ses amis, on lui pardonne ses maladresses. Par contre, s'il s'agit d'une vidéo réalisée par une entreprise que vous estimez mais dont vous êtes incapable de capter le message à cause de sa piètre qualité, le contenu de celle-ci ne passera pas. Pire même, cette entreprise risque d'être la risée de son auditoire et de vous perdre comme client. 

Le réalisateur Stanley Kubrick
Quoi faire alors? Comment capter son auditoire par le biais d'une vidéo, en l'occurrence, une vidéo webcam, sans gâcher son message? Mais surtout, quelles erreurs ne pas commettre?

D'abord, je tiens à préciser qu'il va de soit que vous devez posséder votre matière sur le bout de vos doigts. De cette façon, vous augmenterez considérablement vos chances de bien passer à l'écran.

Donc, voici 5 conseils de base ou pistes de réflexions pour les néophytes en matière de réalisation de capsules vidéos qui pourraient les aider à bien passer à l'écran tout en leur permettant de mieux transmettre leur message:

1
SOIGNEZ VOTRE ATTITUDE 

Docteur Folamour de Stanley Kubrick

« Si vous avez des tics, corrigez-les

Bien entendu, certaines personnes passent mieux que d'autres à l'écran. Mais ce n'est pas tant leur attitude que leur beauté qui est en cause. D'autres ont un charisme à tout rompre. Ce qui les aide à bien passer à l'écran. Mais ça, vous ne pourrez savoir comment vous trouvent les gens tant que vous n'aurez pas diffusé vos capsules. À moins que vous l'ayez fait dans le passé et que vos essais furent concluants. Mais puisque vous connaissez votre sujet, efforcez-vous de le transmettre à votre auditoire en lui parlant. Ne soyez pas fuyant. Essayer de garder un contact visuel. Ne fuyez pas trop le regard et ne bougez pas trop pour rien. Sans être figé, regardez la caméra comme s'il s'agissait d'une personne. Restez naturel. Adoptez un ton confident, mais sans être familier. Gardez une distance, mais soyez sympathique, comme vous l'êtes auprès de votre entourage. Si vous avez des tics, corrigez-les. De cette manière, les gens seront disposés à vous écouter et ne seront pas distraits par la manière dont vous vous adressez à eux.


2
SOIGNEZ VOTRE TENUE VESTIMENTAIRE

Orange mécanique de Stanley Kubrick

«Adoptez une tenue qui se marie avec votre sujet.»

Attention aux couleurs trop criardes. À moins que vous animiez une capsule pour Hawaïen Punch! Évitez le carotté, le pied-de-poule, ce genre de motifs. De manière générale, la caméra ne les aime pas. Ils provoquent un drôle d'effet visuel qui pourrait distraire votre auditoire plutôt que de l'inciter à vous écouter. De la même manière, évitez les accessoires ou les bijoux trop excentriques. Ils vous voleront la vedette! En fait, servez-vous de votre jugeote. Adoptez une tenue qui se marie avec votre sujet. Si vous animez des capsules dont le propos est axé sur un contenu intellectuel, adoptez une tenue plus sobre. Si vous donnez des conseils sur la construction, mieux vaut adopter le look de l'emploi pour être crédible. Mais encore une fois, pas d'excentricité. À moins que vous fassiez dans la satire. Évitez tout détail qui pourrait attirer l'attention ailleurs que sur votre personne et votre message.


3
SOIGNEZ VOTRE ENVIRONNEMENT

2001 l'Odyssée de l'espace de Stanley Kubrick

«Si votre environnement est trop original, 
les gens ne vous écouteront pas.»

Pour les mêmes raisons que celles évoquées sur la tenue vestimentaire, mieux vaut ne pas se filmer devant un décor qui détourne l'attention. Si votre environnement est trop beau ou trop original, les gens ne vous écouteront pas. Ils vont s'attarder sur les détails qui meublent l'image. À moins que vous fassiez dans la décoration. Mais dans ce cas,vous devriez tourner vos capsules avec une caméra portative et faire du montage plutôt que de montrer votre environnement dans un cadre fixe. Si votre image est trop chargée, les gens vont étouffer. Ils n'aimeront pas cette sensation et risquent de décrocher. Évitez aussi les couleurs et les environnements qui jurent ou qui ne sont pas compatibles avec votre sujet. Meublez plutôt votre arrière-plan avec de la matière qui s'harmonise avec ce que vous livrez comme information. 

Évitez de tourner dos à une fenêtre, vous risquez d'apparaître en contre-jour et entouré d'un halo. Une fois que vous aurez ajusté votre cadrage en fonction de la place que vous occuperez dans l'écran et selon votre arrière-plan, veillez à éclairer votre scène convenablement. Sans vouloir tout changer ou penser à créer un plateau de film, essayez d'adapter l'éclairage de votre pièce de manière à vous mettre en évidence et ce, sans exagération. Puis, veillez à ce que votre décor soit lui aussi éclairé de manière à le rendre attrayant tout en lui permettant de créer l'ambiance que vous souhaitez transmettre. Souvent, le plus simple est le mieux. Faites comme les pros, tout en utilisant ce dont vous disposez dans votre environnement.


4
ÉTUDIEZ-VOUS
Eyes wide shut de Stanley Kubrick
«Ne vous surestimez pas.»
Ayez confiance en vous, mais ne vous surestimez pas. Prenez soin de vous étudier pour être certains que vous êtes irréprochable dans votre attitude et votre gestuelle. Encore une fois, le but étant d'être en harmonie avec ce que vous voulez passer comme message et avec le ton qui lui convient. Vous pourriez être surpris du nombre de prises ou d'essais que vous ferez avant d'avoir le ton juste et d'être vraiment intéressant à écouter et à regarder. Les professionnels de la télé, les acteurs et les orateurs le font. Alors pourquoi pas vous? Sans devenir dingue, corrigez-vous, remettez-vous en question, essayez des trucs. Tout en restant tel que vous êtes,inspirez-vous des pros que vous aimez pour voir en quoi ils suscitent un intérêt.  


5
AYEZ RECOURS AU MONTAGE 
2001 l'Odyssée de l'espace de Stanley Kubrick
«Enchaînez vos séquences avec des transitions discrètes.»
Évitez de tourner votre capsule d'un bout à l'autre. Vous risquez de ne pas être constant dans votre représentation et de vous égarer dans vos propos. Découpez plutôt votre matière en plusieurs segments d'une longueur réaliste pour être certain de livrer un document qui ne soit pas trop long. Deux minutes est la durée moyenne des capsules web pour conserver l'attention de son auditoire. Tournez plus d'une seule prise pour chaque extrait, même si vous êtes persuadé que vous ne pourrez faire mieux à la suivante. Dans le pire des cas, vous conserverez la première. N'en tournez pas trop non plus, vous ne saurez plus où donner de la tête. Bien entendu, vous aurez recours au montage pour assembler le tout. Faites en sorte que l'enchaînement de vos segments permette à votre réalisation de conserver son rythme. Enchaînez vos séquences avec des transitions discrètes et sans trop d'effets visuels. Le message passera mieux et l'écoute sera plus agréable.


EN CONCLUSION
2001 l'Odyssée de l'espace de Stanley Kubrick
«La vidéo peut être un outil très puissant.»
Il existe certainement des articles qui couvrent le même sujet que celui-ci. J'avoue ne pas avoir cherché. Ce qui m'importe et j'espère que ce sera le cas, c'est de pouvoir aider celles et ceux qui souhaitent se lancer dans une telle aventure. Car la vidéo «homemade» peut être une lame à double tranchant. Comme je l'ai mentionné en amorce, une mauvaise vidéo peut être catastrophique pour la notoriété. Par contre, si elle offre un contenu intéressant et que sa réalisation est irréprochable, il s'agit d'un outil de communication très puissant.

En espérant vous avoir donné de bons conseils.
Qui sait, peut-être ces renseignements vous rendront-ils service?

Si j'ai oublié des détails qui vous semblent importants, n'hésitez pas à les partager sur ce blog. De la même manière, si vous avez des commentaires, je vous invite à me les faire parvenir.



Source des images de cet article
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mardi 1 avril 2014

MON PAYS, C'EST L'HIVER !

Tadoussac - Noël 2013
par Frédéric Gaudry


Nous sommes le 1er avril et les pelouses du Québec sont encore recouvertes de leur épais manteau blanc.

Comme l'a dit Gilles Vigneault dans sa chanson intitulée Mon pays: «Mon pays, ce n'est pas un pays, c'est l'hiver !» 

À quoi bon se plaindre et vouloir à tout pris que la neige s'efface si rapidement ?

Je sais, il en est tombé beaucoup, il a fait froid et la neige tarde à fondre.

Alors qu'une majorité y perçoit un cauchemar, moi j'y vois plutôt l'occasion de profiter au maximum de ce que l'hiver a de plus beau à offrir. La neige est encore blanche et propre et encore suffisamment abondante pour pratiquer plusieurs sports d'hiver. La température est plus douce, donc les activités extérieures sont encore plus agréables.

Le fait que la neige soit toujours présente en abondance ne signifie évidemment pas qu'elle restera encore longtemps. Bien entendu, le soleil aura raison d'elle. 

Pourtant, je note des avantages à son départ tardif; nous pouvons en profiter presque sans transition. De cette façon, cela diminue les moments ennuyeux de flottes interminables pendant lesquelles il est impossible d'entreprendre des activités extérieures. 

Autre avantage; pendant qu'il y a encore cette belle neige, il n'y a pas grand chose à entretenir sur le terrain à part déblayer les allées et la toiture. Ce qui laisse plus de temps pour entreprendre d'autres activités qu'on aime, comme faire de la création, jouer avec les enfants... et pratiquer le cocooning !

À ce titre, histoire de vous inviter à renouer avec la saison froide, j'ai choisi de vous proposer quelques bons films qui se déroulent en hiver ou qui contiennent des scènes d'hiver mémorables.

Glaces sur le Saguenay - Mars 2014
par Frédéric Gaudry

L'hiver peut être rude, certes et difficile à maîtriser parfois.
Particulièrement en réalisation. 
Mais le résultat cinématographique en vaut la chandelle.
Car les films tournés en hiver possèdent généralement une forte ambiance.

Notez que les films que je vous propose ont été réalisés par des auteurs renommés pour la plupartEt j'en oublie certainement !

Je vous invite à m'en proposer si vous en connaissez d'autres. 

D'ici là, bon cinéma et bon hiver, euh, bon printemps !


de Jacques Dorfmann


de Roman Polanski


des frères Cohen


de Christian Carion


de Francis Leclerc


de Daniel Roby


de Stanley Kubrick


de Irvin Kershner


de John Carpenter


de Tom Tykwer